Au bout des longues neiges

Titre: Au bout des longues neiges 
Auteur : Jean-Côme Noguès
Editions : Nathan
Collection : Lire en Live
Prix : 15.90€
Pages : 256
Date de Parution : 4 septembre 2014

Résumé :
Irlande,1846. La famine touche durement la famille de Finnian O’Connell, jeune garçon d’une douzaine d’années. Son grand frère Shelagh convainc ses parents d’embarquer avec leur quatre enfants pour le Canada, en quête d’une vie meilleure. Après une traversée difficile, la famille parvient enfin à bon port. On leur attribue, comme à tous les émigrants irlandais qui arrivent en nombre, une concession. Là, ils doivent recommencer leur vie : construire leur maison avant l’arrivée de l’hiver, subsister par tous les moyens, grâce aux ressources de l’immense forêt. Mais les Indiens ne voient pas d’un bon œil ces nouveaux arrivants…

Encore un énorme merci aux Editions Nathan pour la découverte de ce roman.

C’est un roman que j’ai eu du mal à lire car ce que je lui reproche est le manque d’action et de suspens. En effet ne vous attendez pas à un livre riche en actions et en suspens car ce n’est pas le cas. Par contre, c’est un livre qui nous fait voyager. En fait on suit une famille qui doit fuir leur pays qu’est l’Irlande pour un autre continent dont elle ignore tout des coutumes, des traditions, de ses habitants etc. Ils vont d’ailleurs tout reconstruire à zéro. Pour cela ils vont avoir de l’aide ou au contraire des gens hostiles à leur arrivée comme les indiens qui y vivent déjà. 
J’ai beaucoup aimé suivre les aventures de Finn et sa rencontre avec Plume-Noire est magnifique ainsi que leur amitié. C’est bien pour cela que j’ai continuer cette lecture car leur relation est bien écrite, et cela donne à réfléchir sur les relations, et qu’ici malgré la barrière de la langue et le « handicap » de Plume-Noire ne fait que renforcer ce lien entre eux et surtout leur communication.  Ce roman s’intéresse surtout sur les sentiments des personnages, leur mode de vie et leurs relations. 
Une fin malgré tout magnifique qui fait surtout réfléchir et j’ai aimé retrouvé dans la phrase de conclusion la référence au titre.

Ma note : 6/10