Depuis l origine du monde, le Phænix meurt et renaît perpétuellement de ses cendres. L être fabuleux est constitué de deux âmes soeurs. À chacune de ses résurrections, ses deux moitiés doivent se retrouver et s aimer pour reformer l oiseau légendaire. Car lui seul a le pouvoir d éloigner les menaces qui pèsent sur l humanité. Malheureusement, les deux amants ont été séparés et l oubli de leurs vies antérieures les empêche d être réunis…
Aujourd hui, dans le Sud de la France. Anaïa a bientôt dix-huit ans. Elle a déménagé en Provence avec ses parents et y commence sa première année d université. Passionnée de musique et de théâtre, Anaïa mène une existence normale. Jusqu à cette étrange série de rêves troublants dans lesquels un jeune homme lui parle et cette mystérieuse apparition de grains de beauté au creux de sa main gauche.
Plus étrange encore : deux garçons se comportent comme s ils la connaissaient depuis toujours… Bouleversée par ces événements, Anaïa devra démêler le vrai du faux, comprendre qui elle est vraiment et qui saura la compléter. Elle devra souffler sur les braises mourantes de sa mémoire millénaire pour redevenir elle-même.
S ouvriront alors les portes d une nouvelle réalité dans laquelle amour et fantastique sont étroitement liés.
En effet, l’histoire est très fluide et les pages se tournent d’elles mêmes. Ce que j’ai beaucoup apprécié dans ce roman, est de suivre la vie quotidienne de l’héroïne nommée Anaia (dont j’ai flashé sur le prénom soi dis en passant). D’ailleurs je me suis beaucoup retrouvée en Anaïa et nous avons beaucoup de points en communs (le déménagement, le théatre, la musique, la fac…) que j’ai moi-même vécu au même âge qu’elle, je me suis donc beaucoup attachée à son personnage.
Puis vient Eidan et Enry, ses deux garçons mystérieux et énigmatiques. On se pose beaucoup de questions sur l’un comme sur l’autre même si ma préférence va pour Eidan depuis le début qui lui représente mon idéal masculin. Autant Enry j’ai beaucoup aimé dès le début mais il m’a beaucoup troublée, intriguée surtout sur la fin. Eidan lui est déstabilisant, on ne sait pas comment le prendre mais il reste touchant et attachant tout de même.
La fin m’a un peu frustrée car depuis le début je me doutais de cette révélations et le choix d’Anaia m’a quelque peu énervée (Mais pourquoi a-t-elle fait ça ??? Elle ne peut pas le laisser faire ça c’est impossible ???) bref la fin m’a fait hurler de colère contre Anaia et dont j’avais envie de frappée.
Résumé :
4 commentaires
« les yeux sont une fenêtre sur l’âme » on la retrouve partout ! j’adore la revoir ! la 1ere fois que je l’ai lu c’était dans la saga des lunes 16 ou 17 je sais plus ^^
nos avis se rejoignent en tout cas 🙂 j’ai adoré la plume, l’imagination et les personnages de Carina ! j’ai trop envie de lire ses autres romans maintenant et de la rencontrer !!!!
vite lis le tome 2 !!!!
t’aurais pas copié ma citation toi? lol un deuxième tome vraiment magnifique !
Euh… quand je l’ai vu j’ai pensé a toi Elodie c’est sur 🙂 Mais c’est tellement vrai en même temps 🙂 Puis j’adore la seconde citation aussi qui résume très bien les titres des livres 😉
Les yeux comme fenêtres sur l’âme, ça date du Moyen-âge, je l’ai déjà vu en cours lol. C’est une de mes citations préférées. Bon je vois bien que cette duologie plait beaucoup, en plus j’ai les deux tomes dans ma PAL. Donc, il faut que je me lance !