Dans cette farce burlesque, notre antihéros, qui restera sans nom, est l'archétype du loser moderne, vaincu par la société : alcoolique, sans emploi, en proie à la plus profonde misère sexuelle et amoureuse. Poussé par ses parents, il accepte un emploi d'homme à tout faire dans une riche fondation qui se révèle être une secte. Par une suite de quiproquos, il va se retrouver patron de cette secte, qui réunit principalement de riches bourgeois érotomanes. Mais ce jeu de masques, ce retournement subversif des valeurs et des positions, ne va pas le rassurer pour autant et, ainsi parvenu au sommet de la pyramide sociale et sexuelle, il va découvrir qu'il ne désire pas plus être maître qu'il ne désirait être esclave. Dans cette fable faussement innocente, mâtinée d'humour trash et de scènes rocambolesques, Romain Ternaux se livre à une destruction méthodique de tout ce qui fait une société : famille, travail, amour. Construit comme un vaudeville surréaliste, cette aventure piège son antihéros comme son lecteur dans une vertigineuse et folle escalade, dont rien ni personne ne sortira indemne. Lorgnant à la fois vers Gaston Lagaffe, vers les Deschiens, vers cette littérature américaine peuplée de vaincus magnifiques (Bukowski, Hunter S. Thompson), L'histoire du loser devenu gourou est un grand éclat de rire de la puissance de ceux qui font exploser nos contradictions et nos faux-semblants.
Dans cette farce burlesque, notre antihéros, qui restera sans nom, est l'archétype du loser moderne, vaincu par la société : alcoolique, sans emploi, en proie à la plus profonde misère sexuelle et amoureuse. Poussé par ses parents, il accepte un emploi d'homme à tout faire dans une riche fondation qui se révèle être une secte. Par une suite de quiproquos, il va se retrouver patron de cette secte, qui réunit principalement de riches bourgeois érotomanes. Mais ce jeu de masques, ce retournement subversif des valeurs et des positions, ne va pas le rassurer pour autant et, ainsi parvenu au sommet de la pyramide sociale et sexuelle, il va découvrir qu'il ne désire pas plus être maître qu'il ne désirait être esclave. Dans cette fable faussement innocente, mâtinée d'humour trash et de scènes rocambolesques, Romain Ternaux se livre à une destruction méthodique de tout ce qui fait une société : famille, travail, amour. Construit comme un vaudeville surréaliste, cette aventure piège son antihéros comme son lecteur dans une vertigineuse et folle escalade, dont rien ni personne ne sortira indemne. Lorgnant à la fois vers Gaston Lagaffe, vers les Deschiens, vers cette littérature américaine peuplée de vaincus magnifiques (Bukowski, Hunter S. Thompson), L'histoire du loser devenu gourou est un grand éclat de rire de la puissance de ceux qui font exploser nos contradictions et nos faux-semblants.
Tout d’abord je tiens à remercier Les Editions Aux forges de Vulcain et David pour l’envoie de ce service-presse.
J’ai passé un très bon moment avec ce roman complètement déjanté.
L’histoire du loser devenu gourou, raconte l’histoire un anti-héros (c’est clair comme de l’eau de roche lol) d’un mec qui ne sera jamais nommé dans tout au long du roman, complètement paumé, sans emploi, alcoolique de surcroît et qui ne pense qu’au sexe. C’est un peu le stéréotype du « Branleur » de notre génération.
Ce anti-héros grâce à la bonté de sa mère va se retrouvé a travaillé comme balayeur dans une société un peu particulière. En effet, il se trouve que cette société est une secte pour riche qui pratique les partouzes. Un monde auquel notre « héros » va être intrigué. Par de faucheuses circonstances il va se retrouvé le gourou de cette secte, ce qui n’est pas pour lui déplaire mais pour cela, il va devoir être crédible et user de stratagème.
Je dois dire que dès les premières pages, ce mec imparfait m’a fait littéralement rire, je me bidonner toute seule tellement les situations qui lui arrive sont rocambolesques. Sa façon de voir les choses sont vraiment à part, et il représente bien les « gros machos » de notre société actuelle. Il ne pense qu’au sexe, ne fait que boire, à des rêves inespérés avec son pseudo livre qu’il a écrit en étant ivre mort. Et en plus de cela il fantasme sur sa voisine. 7
Tout débute par de quiproquos et de quiproquos en quiproquos on avance a une belle vitesse qu’on ne veut plus lâcher le roman et surtout on veut savoir comment notre loser va finir. On rigole par son langage particulier bien que a un certain stade cela m’a un peu énervé puis ensuite c’est revenu et j’ai apprécié ce anti-héros. On apprécie surtout ces mésaventures, de comment il devient gourou et de sa terminaison.
Dans ce roman il ne faut pas être choqué par les propos de celui qui tient des discours vraiment vulgaires, de vrai macho. Pour lui, les femmes ne sont pas grand choses, ne servent qu’a assouvir son besoin de sexe etc. Mais cela n’en devient pas lourd au contraire, on en rigole et on a parfois envie de le gfler et de le faire revenir à la réalité.
En bref c’est un bon roman qui nous fait rire du début à la fin et une fin un peu bizarre mais qui m’a fait sourire tout de même.
Je vous le conseille si vous souhaiter une lecture sans prise de tête.
2 commentaires
En effet, ça l’air très drôle !
Je trouve l’idée très originale mais je ne pense pas m’attarder sur ce roman qui n’est pas forcément ce que je lis! Merci de la découverte 🙂