Lady Hunt

itre ; Lady hunt
Auteur: Hélène Frappat
Editions : Actes Sud
Collection : Domaine français
Prix: 20€
Pages :  371
Date de Parution : 21 aout 2013

Résumé :
Laura Kern est hantée par un rêve, le rêve d’une maison qui l’obsède, l’attire autant qu’elle la terrifie. En plus d’envahir ses nuits, de flouter ses jours, le rêve porte une menace : se peut-il qu’il soit le premier symptôme du mal étrange et fatal qui frappa son père, l’héritage d’une malédiction familiale auquel elle n’échappera pas ? D’autres mystères corrompent bientôt le quotidien de la jeune femme, qui travaille pour une agence immobilière à Paris plus un effet secondaire qu’une carrière. Tandis qu’elle fait visiter un appartement de l’avenue des Ternes, Laura est témoin de l’inexplicable disparition d’un enfant. Dans le combat décisif qui l’oppose à l’irrationnel, Laura résiste vaillamment, avec pour armes un poème, une pierre noire, une chanson, des souvenirs… Trouvera-t-elle dans son rêve la clé de l’énigme du réel ? Sur la hantise du passé qui contamine les possibles, sur le charme des amours maudites, la morsure des liens du sang et les embuscades de la folie, Hélène Frappat trace une cartographie intime et (hyper)sensible de l’effroi et des tourments extralucides de l’âme. Des ruines du parc Monceau à la lande galloise, avec liberté et ampleur elle réinvente dans Lady Hunt le grand roman gothique anglais, et toutes les nuances du sortilège.

Mon avis : 

 

Cette lecture a été faite grâce au Partenariat de Price Minister et de la Rentrée Littéraire 2013 dont je voudrais remercier de m’avoir sélectionnée.

Malgré un résumé qui m’a de prime abord tentée et une couvertute aux couleurs sombres j’ai malheureusement été décue par ce livre.
Le résumé suppose un monde ou quelque chose de fantastique, paranormal ce qui est interessant mais je n’ai pas été conquise car pour moi l’auteur n’allait pas, à mon sens assez en profondeur. On suit Laura Kern, l’héroine qui est hantée par le rêve d’une maison qui l’obsède plus que tout et qui lui ravive certains souvenirs. Tout au long du roman, l’heoïne ne cesse de se poser des questions quant à ce fameux rêve, nous raconte ses souvenirs d’enfance. Une autre obsession la hante, une certaine malediction concernant Hunt qu’elle nomme Chorée. On se rend compte au fil de la lecture de qu’est Hunt.
L’intrigue est plate à mon sens, traine souvent en longueur, ce qui fait que par moment je m’ennuyais, à tel point que j’ai voulu abandonné mais n’aimant pas cela j’ai persisté dans l’espoir d’avoir un peu plus d’explications, plus de détails ou au contraire dans  d’autres avoir moins de détails.
Il est rare, mais ici ce fut le cas, je ne me suis attachée à aucun des personnages, il y en certains ils n’auraient pas été présents cela aurait pu être pareils car l’auteur n’est pas allée plus en profondeur quant au personnage, elle s’est contenté de dire certaines choses, de les nommée par des pseudonymes. Du coup, on se pose énormément de questions auquel on a pas de réponse à la fin du roman.
L’heroine au début est sujet à la disparition du fils de ses cleints auquel elle fait visiter un appartement et là je n’ai pas du tout  compris où l’auteur voulait  en venir. D’ailleurs tout le long du roman je n’ai pas saisi le but, ou le message s’il y en a un que l’auteur a voulu faire passer à travers ce roman. La fin est tout simpkement décevante à mon gout, je m’attendais à plus et au final je me suis surprise à dire « Tout ça pour ça! »  ou alors ce sont mes attentes qui étaient trop exigentes quant à ce roman. Pour moi on pourrait lire les premiers chapitres et les 2 ou 3 derniers chapitres on comprendrait l’histoire sans avoir à lire ce qu’il y a au milieu.

C’est dommage car l’intrigue était interessante mais à défaut d’avoir eu plus de profondeurs sur les personnages et les événements,  ce livre ne m’a pas du tout convaincu.

Les seuls points positifs que j’ai aimé s’est retrouvé des lieux de Paris auxquels je connaissais et avoir des références sur l’hopital de la Pitié Salpétrière (lieu où je travaille). Les courts chapitres font que malgré l’eenui auquel on fait fasse, le roman se lit très vite tout de même.

Ma note : 4/10

Citation :
 » Je ne veux pas de leur pitié et c’est la Pitié qui m’attend »  (NB: La Pitié est nom de l’hôpital Parisien)


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2 commentaires

  • Phebusa (20 novembre 2013) :

    Ah ben ça donne envie (ou pas !).
    Je vais le lire très bientôt en plus…

  • Elodie (21 novembre 2013) :

    je l’ai vu passé sur bcp de blog, souvent de ton avis.. bon de toute façon je ne me serais déjà pas arrêtée devant donc autant passer direct mon chemin